Il a surtout réaffirmé qu'il s'opposerait à toute modification des traités européens qui donnerait davantage de compétences à Bruxelles. "Nous ne voulons pas voir de transfert de pouvoir de Westminster à Bruxelles" a-t-il ainsi martelé. TANTO MEJOR: ASÍ EL CABALLO DE TROYA NO ATRAVIESA EL CANAL
Or Berlin propose, pour réformer le pacte de stabilité qui régit la monnaie unique, certaines dispositions qui exigent des modifications. "La Grande-Bretagne n'est pas dans la zone euro et ne va pas la rejoindre, et en conséquence la Grande-Bretagne n'approuverait pas un quelconque arrangement qui nous amènerait à soutenir la zone euro", a précisé M. Cameron. CON TODA RAZÓN
MERKEL TUTOIE CAMERON
Pas de quoi toutefois refroidir la chancelière allemande, Angela Merkel, qui, devant les journalistes, a tutoyé le premier ministre britannique et l'appelant "David", Mme Merkel s'est réjouie d'une "coopération très active, très sincère et amicale", notamment pour les sommets à venir du G8 et du G20. M. Cameron lui a d'ailleurs apporté son soutien sur plusieurs points, au premier rang desquels la nécessaire stabilité de la zone euro et la volonté de réduire les déficits. "Nous voulons une zone euro forte et stable", essentielle pour le commerce extérieur britannique, a indiqué l'hôte du 10 Downing Street.
Mais sur les autres aspects de la régulation, chère à Angela Merkel, qui subit la pression de l'opinion publique allemande surtout depuis sa défaite à un scrutin régional, le premier ministre britannique n'a pas caché ses réserves. Concernant les fonds spéculatifs, dont le projet de régulation adopté mardi doit encore être discuté par les députés européens, M. Cameron a déclaré que la Grande-Bretagne avait des "inquiétudes".
Selon lui, ces fonds ne sont pas responsables de la crise financière. L'Allemagne en revanche "a soutenu" ce plan, a rappelé Mme Merkel. "Les fonds spéculatifs doivent être régulés", selon elle. Même chose selon elle en ce qui concerne les ventes à découvert d'obligations partiellement interdites mercredi à la surprise générale par Berlin. M. Cameron s'est bien gardé de critiquer directement la décision allemande, mais a affirmé qu'il fallait traiter les "causes" des problèmes économiques, et non "les symptômes". FALSA OPOSICIÓN. ES GRACIAS A LOS SÍNTOMAS DE LOS PROBLEMAS QUE RECONOCEMOS SU EXISTENCIA Y BUSCAMOS SU EXPLICACIÓN CAUSAL.
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