Face à elle, l'ensemble de la gauche parlementaire (socialistes, écologistes et Front de gauche), flageolante il y a peu encore, passe la barre symbolique de 50 % des suffrages exprimés. NO, PORQUE NO ES UN PARTIDO NI UNA ALIANZA DE PARTIDOS Et, pour noircir le bilan, le Front national se redresse et retrouve une capacité de nuisance certaine, alors que le chef de l'Etat pensait l'avoir durablement marginalisé depuis 2007.
C'est donc au mieux un avertissement (de la part des électeurs de droite), au pire une sanction (de la part de ceux de l'opposition), qui a été adressé au président de la République. Et l'on voit mal comment le second tour, le 21 mars, pourrait corriger le premier, tant l'UMP manque de réserves, hormis chez les abstentionnistes.
La question est désormais de savoir quels enseignements Nicolas Sarkozy tirera de ce camouflet. La stratégie électorale qu'il a imposée à la droite est, pour l'heure, contre-productive ; mais il est bien tard pour en changer. Quant aux deux dernières années de son mandat, elles vont être tiraillées entre deux tentations : celle de réaffirmer le volontarisme politique qui avait convaincu les Français en 2007, au risque, désormais, de les exaspérer un peu plus ; ou celle de calmer le rythme et l'ampleur des réformes annoncées, au risque de paraître se déjuger et renoncer. NI UNA PALABRA SOBRE DOS CUESTIONES CANDENTES: ¿CÓMO Y CUANDO EL PS SE PRESENTARÁ EFECTIVAMENTE UNIDO, LIBERADO POR FIN LOS TRÁNSFUGAS QUE SEDUJO SARKO? ¿CON QUIÉNES Y QUÉ PARTIDOS UN PS UNIDO LLEGARÍA A CONFIGURAR UN FRENTE DE IZQUIERDA?
Mais le pire, à coup sûr, serait d'invoquer le taux d'abstention record du 14 mars pour dénier au scrutin toute signification déterminante et pour ne pas entendre le message adressé par les Français, ceux qui ont voté comme ceux qui ne l'ont pas fait. ¿QUÉ MENSAJE?
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