Le discours du président français était marqué par les questions économiques. Face à un auditoire de quatre cents étudiants, Nicolas Sarkozy a fait l'éloge d'une coopération internationale renforcée. "Il n'y a pas un pays au monde au XXIe siècle qui peut diriger tout seul le monde", NUNCA LO HUBO, NUNCA LO HABRÁ a lancé M. Sarkozy aux étudiants et professeurs réunis. Il a demandé aux Etats-Unis de "réfléchir davantage à ce que signifie être la première puissance mondiale. (...) YA LO ESTÁ HACIENDO. POR ESO NO PRIVILEGIA A LA UE Le monde a besoin d'une Amérique ouverte, d'une Amérique généreuse, d'une Amérique qui montre le chemin, d'une Amérique qui écoute". LO MISMO PODRÍA DECIR DE UNA FRANCIA ABIERTA, GENEROSA, ...
LUTTE CONTRE LE TERRORISME
Réagissant à l'actualité matinale, le chef d'Etat a fait allusion aux attentats de Moscou de lundi et appelé l'ensemble des démocraties à lutter contre le terrorisme. "Quand New York a été attaquée, ce sont toutes les démocraties du monde qui ont été attaquées. Et quand Moscou est attaquée, c'est nous tous qui sommes attaqués. Face au terrorisme, nous ne pouvons pas nous diviser", a-t-il insisté.
Nicolas Sarkozy a par ailleurs réaffirmé l'engagement de la France en Afghanistan, au côté des Etats-Unis. "Nous resterons aux côtés de vous en Afghanistan parce que la lutte contre les terroristes, c'est une lutte qui nous concerne tous, pas simplement les Américains."
Interrogé par un étudiant sur ce qu'il pensait de la réforme de santé américaine récemment votée par le Congrès, le président n'a pas voulu entrer dans des questions de politique interne aux Etats-Unis. Il a en revanche vanté le système français où, "quand quelqu'un tombe dans la rue, on ne lui demande pas sa carte de crédit avant de l'emmener à l'hôpital", avant de souhaiter "bienvenue [aux Américains] dans le club des pays qui ne laissent pas tomber les gens malades".
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